A la suite de George, Estelle, et Moka, je réponds au rendez-vous de Ma lecturothèque et vous recopie les premières lignes de ma lecture en cours.
I
Les amants de RoissySon amant emmène un jour O se promener dans un quartier où ils ne vont jamais, le parc Montsouris, le parc Monceau. A l’angle du parc, au coin d’une rue où il n’y a jamais de station de taxis, après qu’ils se sont promenés dans le parc, et assis côte à côte au bord d’une pelouse, ils aperçoivent une voiture, avec un compteur, qui ressemble à un taxi. « Monte », dit-il. Elle monte. Ce n’est pas loin du soir, et c’est l’automne. Elle est vêtue comme elle l’est toujours : des souliers avec de hauts talons, un tailleur à jupe plissée, une blouse de soie, et pas de chapeau. Mais de grands gants qui montent sur les manches de son tailleur, et elle porte dans son sac de cuir ses papiers, sa poudre et son rouge.
A quel livre correspond cet incipit ? (Surlignez le texte entre crochet avec la souris pour le découvrir) [Histoire d’O – Pauline Réage]
Ben, le parc Montsouris ou le parc Monceau ? Ca a l’air bizarrement ecrit ce livre… Lire cet extrait m’a rendu totalement confuse, l’enchainement est bizarre, le rythme est bizarre. Je ne vais pas le lire ^^
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S’il n’y avait que ça de « bizarre » dans ce livre…
Le parc n’a aucun intérêt pour la suite, ce qui est intéressant c’est que ce soit un lieu où ils ne vont jamais. Cela dit, je vérifierai ce soir, si j’ai pas fait une erreur en recopiant…
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Une recherche rapide sur Google Books me confirme que je n’ai pas fait d’erreur. 😛
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Encore plus bizarre 😀
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Ta lecture en cours et l’initiale étaient de bons indices sur l’auteur de l’incipit tout de même… J’attends tes impressions, mais ton commentaire ne me rassure pas.
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Oui c’est vrai, c’était facile… Pour mes impressions, elles sont mitigées. C’est bien écrit au regard du contenu, mais c’est difficile de se sentir concernée… Je n’en suis qu’à la moitié, la seconde partie avec Sir Stephen pour être exacte. Pour l’instant, je préfère clairement Anaïs Nin. Je reconnais le caractère provocateur du récit (difficile de faire autrement !), surtout pour les années 50’s. Pour l’instant, je lis le livre uniquement comme une curiosité à découvrir…
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